Désolé de ne pouvoir citer la source.
Ceci est l'emprunt légal d'un emprunt peut-être illégal.
Le bouffon était le personnage chargé de divertir le roi. Il avait le droit de dire certaines vérités sans être puni, sous réserve sous la forme de la satire, de la moquerie, un risque voire un péril pour lui. Le bouffon devait pour amuser le Roi et la Cour, d'exprimer des choses anodines sur un ton grave ou de la plaisanterie.
Le fou du roi devait incarner "la conscience ironique". Chaque roi avait son "bouffon" qui était attitré. Le bouffon est un personnage comique, qui doit à toutes fins faire rire. Il apparaissait lors des banquets où les vassaux festoyaient au côté de leurs seigneurs. Comme des comédiens, des artistes pour divertir par la farce, l'humour, la facétie.
Les grecs avaient déjà des bouffons, Attila, roi des Huns, avait un bouffon, vers 449 pour distraire ses convives . A la Cour de France, nous trouvons le fou du roi, au XIV° siècle, avant aucune preuve ne subsiste.
Triboulet" sous Louis XII, Brusquet pour François I°, Nicolas Joubert celui d'Henri IV, Angély, avec Louis XIII.
Notez que le fou du roi, se rapproche dans son art de la commedia dell'arte, il portait une tunique, un pantalon bouffon, souvent fait de soie et un chapeau à pointes muni de grelots.
Bonne doc, ne analyse trés classique, rien de neuf?
Alors ce risque majeur dont on parle, combien ont été guillotinés avant Louis XVI ?
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